They came from the edge of the Old World to the New. Their culture shaped America’s, in a quiet, unsung way, centuries ago. Just as most of us have forgotten the lost world of New France, we’ve forgotten that many of first European Americans were from Brittany, and had their own culture and ways. Now Brittany’s sounds, the Celtic language and the unique musical traditions of France’s northwestern reaches, are returning to the US as part of the second Breizh Amerika tour. This time, Breton artists will retrace the old river byways of trappers, traders, and adventurers, performing in Detroit, Chicago, St. Louis, New Orleans, and other American markets this May. “We think about Celtic music from Ireland, Scotland, or Wales, or we think about European folk traditions. Breton music is both,” explains Breizh Amerika’s instigator, American-raised, Breton-speaking Charles Kergaravat. “Brittany is a Celtic nation, but it also has influence from traditional music from across Europe. We’re a seagoing nation, so the music has been shaped by sailors from places like Ireland, Flanders and Spain.” Americans owe more to Brittany than a nod to some of the continent’s earliest European settlers. We can thank the coastal region of Brittany in Northeastern France for crêpes, as well as seafood magic, Pate Henaff, cider, Lancelot beer, butter, the breton striped shirt, the Interceltic Festival of Lorient (where thousands of musicians entertain hundreds of thousands of fans), and a distinctly Breton music tradition called Kan Ha Diskan (literally, “to sing and unsing”). This call-and-response animates Breton dance parties (fest noz) and makes for lively interactions on stage between musicians. Breizh Amerika is bringing a duo lauded at home for their close connection, Thomas Moisson (a young accordion idol who has played worldwide) and Lors Landat (an in-demand traditional singer who spent years learning from elder musicians). “The singer tell a story and it’s important to illustrate this story,” notes Moisson. “With Lors, the meeting is natural, and we don’t even need to look at each other to know that the other is going to do next. When we play, we test each other, we put ourselves in jeopardy. It’s the key to our music, to create an unique moment with a living music at each concert, a real sharing moment with the audience.” Part of this sharing moment will be respected bassist Julian Le Mentec (who has played with Goran Bregovich, Frigg, and Carlos Nunez) and American jazz trombonist and composer Alex Asher, who played on several of Beyonce’s Grammy-winning recordings, as well as with a slew groundbreaking bands. He and Moisson have been exploring the intersection of American jazz and Breton repertoire for years, a closer connection than one might think at first glance. Though big at weddings since the late 19th century, the accordion gained a foothold in 20th-century Breton music thanks in part to jazz. Brought back by economic migrants from cities like Paris in the 1930s, the chromatic accordion and its jazz manouche sounds became popular, and “it was the start of Breton swing,” says Moisson. Moisson has continued the untraditional tradition of his instrument, finding a hybrid accordion that combines the benefits of earlier diatonic and more recent chromatic instruments. It all pushes tradition in new directions, giving new dimension to sounds that many American listeners will find intriguingly familiar. Adding jazz to the mix means Breton artists can continue to keep tradition alive by innovating. “There’s a liberty to jazz, you have to step out of the regimented dancer-oriented folk music,” muses Kergaravat. “That’s going to be one of the most intriguing parts of the project, for the musicians and for the audience.” More info - http://www.breizh-amerika.com/usa-tour-2016.html
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Collaboration avec le Festival Interceltique de Lorient où se déroulait la conférence de presse ce mercredi soir avec Lisardo Lombardia et Bruno Jaouen , membres du bureau du FIL (Festival Interceltique de Lorient), qui expliquent que l'on "amènera la Bretagne aux Américains". Car il s'en passe des choses chez les bretons! Breizh Amerika est une association interculturelle entre la Bretagne et les Etats-Unis, présidée par Charles Kergaravat. Le BREIZH AMERIKA COLLECTIVE réunit des musiciens bretons novateurs et américains. Le but est de créer et produire une musique originale permettant de promouvoir la culture bretonne outre-Atlantique et de développer les liens Trans-Atlantiques durable. Et puis, Lors Landat le chanteur et Julien Le Mentec, multi-instrumentiste, ont rappelé que la communication se fera en anglais mais également en breton par le chant puisque c'est le but même de cet échange culturel... Important de signaler également la présence de l'accordéoniste Thomas Moisson. Alex Asher , le tromboniste de la chanteuse Beyoncé rejoindra le groupe également. Il sera prochainement en tournée aux USA avec Boy George. Donc une belle affiche! Le coté économique n'est pas oublié puisque Charles Kergaravat a présenté la Start-Up PennArBox qui offre des kits de survie des Bretons (avec du pâté Hénaff) qui seront remis aux personnalités Américaines lors de cette tournée. Le Breizh Amerika Collective sera en tournée aux Etats-Unis entre le 13 mai et le 22 mai 2016. Le premier concert de lancement de la Fête de la Bretagne dans le monde aura lieu à Detroit (à la frontière Canadienne) le 13 mai. Autres dates: Saint-Louis le 15 mai, Chicago le 18 mai, New-Orleans le 19 mai, Lafayette le 20 mai, Scott le 21 mai. Article - Jean-Francois Baudet (RMN-FM) C'est officiel! Breizh Amerika et Festival Interceltique de Lorient sont partenaires!!! Mercredi soir à Lorient, Breizh Amerika et le Festival Interceltique de Lorient ont annoncé leur partenariat. Un partenariat qui aidera a developper des liens culturels et économiques avec les Etats-Unis. Bruno Jaouen (Vice President FIL) et Lisardo Lombardia (Directeur FIL) ont également announcé leur soutien au "The Breizh Amerika Collective 2016" qui sera en tournée aux Etats Unis entre le 13 et le 22 mai 2016. Aujourd’hui, samedi 23 mai 2015, il est 6h du matin. Nous sommes encore à Albuquerque à l’hôtel BAYMONT INN & SUITES et ici les hôtels, offrent un service de buanderie. Je descends donc au rez-de-chaussée et me retrouve à laver mon linge sale avec un « biker ». En effet, cette nuit, ils sont une vingtaine a avoir fait étape dans notre hôtel comme le démontrent les nombreuses motos de marque « Harley » sur le parking. Le nom de la bande est « Angels Lovers »!… Quand ils partiront, vers 9h, c’est un concert de moteur qui résonnera et finira par réveiller la bande du « Breizh Amerika Collective« … Ce matin, nous petit déjeunons léger à l’hôtel car nous allons prendre un déjeuner complet chez Annie’s Soup Kitchen, une Bretonne de Plouvorn qui est venu voir le concert à Albuquerque, hier soir. Marie Elsner née Le Jeune En fait « Annie » est le nom du restaurant et c’est Marie Le Jeune qui en est la propriétaire. Marie est très dynamique et tient ce restaurant avec une demi-douzaine d’employés. Elle est spécialisée dans le petit-déjeuné et déjeuné américain mais plutôt Néo-méxicain: http://www.anniessoupkitchen.com Elle nous prépare des burritos, des tortillas, des omelettes géantes accompagnées de pommes de terre sautés, « beans mexicains », salade, pancakes au beurre ou au sirop d’érable qui nous régaleront… Marie est ici depuis décembre 1999. Elle est marié avec Monsieur Elsner, un Américain pure souche, depuis 15 ans et elle serait très heureuse de recevoir des Bretons de passage dans son restaurant… surtout s’ils sont du pays Léonard! Elle nous avouera son admiration pour les bonnets rouges et un certain Thierry Merret of course!… Nous serons tous admiratifs de Marie de Plouvorn, de part son courage pour son parcourt et sa gentillesse à notre égard. Nous sommes obligé de partir car on nous attend à Santa-Fé pour le concert de ce soir!…Nous prenons donc la fameuse Route 66. A l’origine, cette route a été construite dans l’ouest pour joindre Chicago à Los Angeles. Depuis, elle a été modifiée et mise en autoroute. Nous rencontrons d’autres « bikers » qui pavanent cette route historique et notamment dans ce petit village appelé « Madrid » qui était devenu une ville fantôme et qui maintenant est très dynamique car très typique du Far West. Dans ce village, nous régalons nos yeux car nous avons l’impression d’être dans un film de Cow-boys et qu’ici commence la conquête de l’ouest. Nous apprenons qu’un article est paru dans le grand journal du Nouveau Mexique « New Mexican » avec des éloges sur notre groupe de musiciens et chanteurs « The Collective ». Ce soir, le dernier concert à lieu au Gig Performance Space de Santa-Fé. La petite salle est comble: On fera la rencontre de Francophiles comme Walter et d’un ancien musicien du groupe « Gwendal », Richard Caust qui demeure ici à Santa-Fé. Bien entendu, nous rencontrerons des Bretons comme Caterine Visot originaire de Saint-Brieuc et qui demeure ici depuis près de 50 ans… et Florence Goulesque, professeur de français. Texte par Jean-Francois Baudet - RMN FM
The Breizh Amerika Collective was interviewed live on WBEZ, The Morning Shift, in Chicago.
WBEZ is a noncommercial public radio station broadcasting from Chicago, Illinois. Financed primarily by listener contributions, the station is affiliated with both National Public Radio and Public Radio International; it also broadcasts content from American Public Media. The Morning Shift with Tony Sarabia is a live talk show that airs weekdays from 8:50 to 10 a.m. on WBEZ 91.5FM in Chicago. It offers a dynamic mix of news, culture and music and rely heavily on engagement with you, our listeners, on-air and via social media. CLEVELAND Dans le cadre de la fête de la Bretagne, le groupe Breizh America Collective 2015 a quitté Rochester lundi matin 18 mai pour Cleveland dans l’Ohio: 5 heures de route…pour cette troisième ville étape du « sixty days tour » ( tournée de six jours). La bande garde un très bon souvenirs de Rochester. Breizh on the road CLEVELAND EST UNE ÉTAPE EXPÉRIMENTALE…En effet, pas de communauté bretonne pour nous accueillir là-bas. Charles Kergaravat, président de Breizh Amerika, nous informe que cette étape est imposée techniquement car nous sommes attendus à Chicago, mardi… et faire la route de Rochester à Chicago aurait été une étape trop longue pour nos artistes. Nous avons concert ce soir dans un bar-restaurant-blues Wilbert’s dans le centre-ville juste en face du fameux stade de baseball des Indians. La ville ne compte « que » 370 000 habitants. La ville est calme: il n’y a pas match ce soir. Breizh on the road: façade avant du Wilbert’s Façade arrière du Wilbert’s Lorsque nous arrivons dans la salle de concert, cela ressemble au « saloon » où l’on boit de la bière sans modération que l’on trouve dans les albums de Lucky Luke. L’affiche de la venue du Collective 2015 voisine celles des concerts country et de groupes connus. Un panneau rond « interdit » représentant un révolver barré de cet interdiction de porter cet arme, nous met un peu dans l’ambiance: « Pas de reuz ici ce soir »!… Les musiciens font des essais de voies et réglages de niveaux et nous passons à table: il est 18h. Y aura t’il du public, y aura t’il des Bretons dans cette ville calme ce soir? Charles nous dit que sincèrement, il n’en sait rien. Spécialités du Wilbert’s: Les ribs Nous nous asseyons autour d’une grande table et ici, la spécialité est le « rib » (fameux travers de porc). Ils seront immenses et les premiers spectateurs arrivent et commandent aussi car le concert commence bientôt à 6:30 pm. Il faut manger avant car les cuisines ferment. Finalement, on rencontrera un couple de Breton de Concarneau qui sont ici depuis plusieurs années: Michèle Le Moing mariée avec Hussein, sont venus avec leur fils Melwan. Hussein est originaire du Maroc mais se revendique Breton; il a fait ses études à l’UBO de Brest et est chercheur dans le domaine des technologies aqua-marines. Michèle est informaticienne et tous les deux étaient membre du Cercle Celtique de Concarneau… il y a 24 ans. Michèle nous dit être heureuse ici et nous présente son fils, 12 ans, qui passe ses vacances régulièrement à Concarneau et Pont L’abbé où demeurent la famille. Mike, un grand et jeune Américain vient nous aborder en français avec un fort accent. Il est seul ce soir et s’excuse de n’avoir pas pu faire venir son amie et sa belle-mère qui demeurent ici. Elles sont de Treffrin… Puis, c’est Annie Jouan, de Nantes, professeur de français qui nous aborde et nous dit que cela est dommage de n’avoir pas eut plus d’information car il aurait pu attirer encore plus de monde. Elle a pris connaissance de ce concert par le courriel du consulat de France deux jours plus tôt. Elle a adoré et souhaite que le groupe revienne l’année prochaine. Il faudrait plus de concert de musique bretonne! Finalement, des contacts sont pris: Mike revient à Treffrin cet été. Il est tombé dans la musique bretonne au Festival Interceltique de Lorient l’année dernière et le Collective 2015 l’a convaincu ce soir! Hussein et Michèle qui se sont immédiatement mis à danser nous avoue avoir oublié les pas de la gavotte après ces années aux États-Unis: la gavotte « mod amerika » est inventée. Gordon Van Meter, président des Meet Up en langue française de Cleveland découvre le coté celtique de la France. Il nous dira que Cleveland est jumelé avec Rouen… Il nous invite à visiter le Rock’n roll Hall of Fame et le musée des Arts de Cleveland… Texte - Jean-Francois Baudet - RMN FM ———————————————————————————– Les photos du groupe “Breizh on the road” feront l’objet d’une exposition au château de Tronjoly de Gourin (56) avec A Ciel Ouvert du 1er juillet au 31 aout 2015. ROCHESTER Nous quittons New York en voiture ce matin: environ 6 heures de route jusqu'à Rochester dans l'état de New York. Hier soir, la soirée WFMU live au café-concert d'Olivier Conan originaire de la région lorientaise, s'est terminée tard. Nous traverserons plusieurs états pour arriver à Rochester vers 16h30. On nous attend avec beaucoup d'intérêts puisque ici ce sont les comités de jumelage Rochester-Rennes qui organisent la soirée. On peut dire que nous sommes un peu au pays car ce comité de jumelage existe depuis 1958. Il existe une communauté française à forte domination bretonne à Rochester. Le soleil est au rendez-vous La salle de Little Theater se trouve au centre-ville de cette ville très agréable et propre. Il s’agit de l’ancienne cité de Kodak au temps des appareils photos argentiques. Le printemps vient d'arrivée et les fleurs donnent une agréable sensation. Nous sommes accueillis par Hannah Barry, présidente de l'International Sister Cities of Rochester. Hanna a fait ses études à Rennes et connait donc la musique du Collective 2015 de Breizh Amerika. Avec elle, Raymond Griswold, président du Comité de jumelage Rochester-Rennes et le conseiller municipal délégué par le maire de Rochester, Michael Leach. Signalons que Cracovie en Pologne est également jumelée avec Rochester. On nous informe que nous serons hébergé chez l'habitant ce soir: membres des comités de jumelage et aussi des membres de l'Alliance Française. La salle du Little Theatre est une salle où tous les dimanche après-midi, on vient diner et assister à un concert: Ce soir, ce sera le groupe breton du Breizh Amerika Collective 2015, sous la direction musicale de Armel An Heger, créé spécialement pour les Américains pour l'occasion. Nous rencontrons dans le publique des jeunes comme Kévin Le Blévec, de Rennes, professeur de français, Cathy Rappazzo, Mireille Le Breton, présidente de l'Alliance Française. Et puis, des Bretons aux USA depuis plus de 50 ans comme Rachel Méliarenne, originaire de Langonnet, sa fille Muriel marié à Herman Kerhors, originaire de Scaër qui sont venus avec leurs enfants qui ont dans les mains le drapeau breton du Conseil Général de Bretagne. Le concert est très apprécié par ce public de connaisseurs. Il se termine par un fest-noz sous les rappels de l'assistance. Ici, à Rochester, on sait danser comme en Bretagne ce qui démontre la qualité du travail des associations. Charles Kergaravat, président de Breizh Amerika et Alain Leclere, chanteur du groupe retiennent un excellent souvenirs de cette soirée qui s'est terminée au restaurant avec remise officielle de cadeaux bretons aux familles d'accueil. Notez que les crêpes de Gourin offertes par l’entreprise Mahé se sont très bien conservées dans nos valises et ont été largement appréciées ...et réclamées. Elles seront dévorées au petit déjeuné chez ses connaisseurs... Après un repas comme toutes les membres du comité de jumelage, de l’Alliance Française, des hébergeurs et des Bretons, nous finissons la soirée par une photo de groupe avec les drapeaux bretons. Demain matin, nous partons pour Cleveland dans l’état de l’Ohio avec un très beau souvenirs de Rochester. Texte: Jean-Francois Baudet - RMN-FM NEW-YORK
C'est samedi 16 mai 2015 et hier soir, j'ai atterris à JFK: Good morning New-York. Depuis deux ans, la collaboration entre BTA de Gourin et Charles Kergaravat fonctionne. De nombreuses associations et entreprises bretonnes participent à notre tournée “Breizh on the road” en hommage à l’Américain Jack Kérouac dont les ascendants venaient du Canada et ses ancêtres de la région d’Huelgoat.. Le 5 aout dernier, l'association américaine Breizh-Amerika a été créée officiellement à Gourin au château de Tronjoly. A l'occasion de la fête de la Bretagne du Conseil Régional de Bretagne, un grand tour des Etats-Unis est organisé pour un groupe breton créé spécialement pour cet occasion afin de faire connaitre la culture bretonne aux Américains. Ils sont déjà à New-York depuis une semaine pour certains comme Alain Leclere de Lothey, Armel An Higer de Sainte-Marine, et plus encore comme Gaëtan Granjean de Rennes et Thomas Moisson de Lorient. Une bonne brochette de Bretons finalement! Ils ont déjà joué cette semaine à l'Irish Arts Center et au Méridian de New-York. Des séquences ont été filmé par France 3 et feront l’objet d’un documentaire cinématographique sur les Bretons de la région de Gourin émigrés aux Etats-Unis. Diffusion selon le réalisateur, Philippe Orriendy, prévue en automne 2015 Deux ans de travail: Lorsque Charles Kergaravat était président-cofondateur de BZH NY, des bagadou sont venus défiler à New York pour la Saint-Patrick et des contacts ont été pris par les compères Alain et Armel avec une autre population d'émigrés à New-York dont la langue est maltraitée, les Garifuna qui sont d'origine des Caraïbes et plus particulièrement des iles Saint-Vincent puis de l'Honduras en Amérique centrale. Ce peuple embarqué de force d'Afrique a été opprimé par les colons mais ils n'ont finalement jamais été esclaves et ont toujours résistés: ils se sont mixés avec les populations indigènes et ont formé ce peuple fière comme nous. Aujourd'hui, les trois percussionnistes Garifunas doivent enregistrer sous la direction d'Armel An Heger dans le studio Tedesco du New-Jersey: . Ils doivent enregistrés sur les bandes numériques en vue de créer un CD commun qui sera finaliser en Bretagne. De nombreux bienfaiteurs ont participé à ce crowdfunding par Internet sur Kisskissbangbang.com avec une vidéo enregistrée au studio de RMNFM.com (visible encore sur Internet). Le gros autobus noir loué pour transporter chanteurs et musiciens se dirige maintenant dans le quartier New-Yorkais désormais à la mode "Harlem" où demeurent les Garifunas. Tous le monde embarqué, nous partons enregistrer pendant près de 6 heures. Il faut que ce soit parfait! Je découvre en primeur ce mixage et je vous informe que cela me plait mais je ne suis pas spécialiste de la musique bretonne. LIVE SUR WFMU Il faut faire vite maintenant car nous avons du retard. Nous devons nous rendre dans le Brooklyn et ce n'est pas à coté. L'émission de Rob Weisner, le très connu animateur à chemise à fleur de cette radio locale libre invite 5 groupes de musiciens ce soir. Ce “Monsieur” connait toutes les musique du monde... et la musique bretonne aussi mais il cherche la nouveauté principalement. Nous sommes les troisièmes à passer et l'émission est déjà commencée. Nous sommes dans les bouchons mais on arrivera 15 minutes avant de passer à l’antenne. Elle se déroule au Café-concert Le Barbès où je découvre que le patron est Olivier Conan, Lorientais d’origine. Il s'agit d'un bar très ouvert et très branché où l'on peut découvrir de nouveaux talents. Le groupe précédent à des origines Allemandes, le suivant Israélites etc... Mais que des communautés vivant à New-York. Rob Weiser et son épouse-partenaire-technicienne sont aux anges: des Bretons avec des Garifunas font une nouvelle musique? Il est le premier à diffuser ce nouveau son à New York et ses millions d'habitants. Les Bretons et Garifunas joueront trois morceaux: le public, tout acquis à la musique de Rob Weiser explose de joie. La bière coule et la soirée "live" radiodiffusée se termine. Nous rencontrons un ancien banquier reconvertit dans les investissements pour les particuliers Rédouane Guébli, Breton émigré avec son épouse et sa petite famille de Sainte-Anne d'Auray: Il n'est un fan de l'émission de Rob mais il a aimé. Rédouane s'est déplacé spécialement pour voir le Collective 2015. Nous discutons avec le patron du Barbès et découvrons qu'il a émigré depuis environ 30 ans. Demain départ à 8h00 pour notre étape 2: Rochester Two Streams Fed by Rhythm: The Surprising Confluence of Breton and Garifuna Sounds Debuts in May in New York as part of Breizh Amerika
At the edge of the same ocean, two cultural worlds have thrived despite hardship. Their languages are unique and face extinction. Their music booms with joyful rhythm and is all about sparking the dance. Sometimes salty, sometimes moving, songs are often danced. As feet pound in both communities, you’ll hear a voice call out, greeted with voice ringing out in response. What are these two cultures? You’ll never guess: The Bretons in Northwestern France and the Garifuna of Central America. Now these unexpectedly harmonious sounds and beats come together in collaboration as part of Breizh Amerika, a multimedia cross-cultural initiative to celebrate the beauty of Brittany, its music, food, lifeways, and language. The collaboration will debut on May 14 at New York’s Meridian 23 (7:30 PM start; meridian23.com). The musicians will also spend time in the studio, perfecting and documenting their collaboration. The connections between the Bretons and the Garifuna, a group that traces its origins back to shipwrecked Africans who intermarried with indigenous Arawak, felt implausible to organizer Charles Kergaravat--until he heard Brooklyn-based Garifuna drummer James Lovell and his Garifuna Drum Band. “Percussionists often have an easier time leaping into collaboration with singers,” explains Kergaravat. “So when I heard about James, I decided we should meet. We chatted for a few minutes, and James insisted that we were all just crazy enough to pull this off.” Lovell and his band will join two sought-after Breton singers of Kan Ha Diskan, the call and response-based form that ignites the dancefloor at Breton parties. Rhythmic and cheeky, the singing style has a corollary in Garifuna music, as songs are often improvised to fit the occasion, shifting and growing to incorporate new tales--and to keep people dancing. The Breton-Garifuna will explore these connections in more depth, then present their discoveries in New York and across the US this May. It’s part of a larger effort to highlight Brittany's distinct culture, cuisine, and language, and to place Breton lifeways in a world-wide effort to enliven and maintain endangered languages and the worlds they encompass. Both Bretons and Garifuna face an uphill battle to preserve their tongues--both have barely over 200,000 speakers left--but both have strong musical traditions that have helped raise the banner for greater awareness. “Even when singing, much of Breton music is all about the rhythm,” Kergaravat notes. “There is a much greater overlap in Garifuna and Breton experiences, and in the sounds we favor, than meets the eye.” The Breizh Amerika Collective tours through New York City, Rochester, Cleveland, Chicago, Santa Fe, and Albuquerque for Fête de la Bretagne, an international celebration of Breton music, food, and language. In an unprecedented level of participation, these US cities will be joining a global network, from Shanghai to Sao Paulo, of hosts to celebrations of Breton culture. Follow The Breizh Amerika Collection on Twitter: @BreizhAmerika Support this unique collaborative project here! Fête de la Bretagne: A Party Exported, Made in Brittany, France
We can thank the coastal region of Brittany in Northeastern France for serving as the birthplace of crêpes, but the region has exported much more than just decadent pancakes. These exports combined amount to a damn good party, and anyone who can raise a glass or keep a beat is invited. These exports include seafood, whiskey, cider, butter, the breton striped shirt and a distinctly Breton world music tradition called Kan Ha Diskan. Lucky corners of the US will enjoy the latter of these authentic exports throughout May when The Breizh Amerika Collective tours through New York City, Rochester, Cleveland, Chicago, Santa Fe, and Albuquerque for Fête de la Bretagne, an international celebration of Breton music, food, and language. In an unprecedented level of participation, these US cities will be joining a global network, from Shanghai to Sao Paulo, of hosts to celebrations of Breton culture. Kan Ha Diskan is world music at its core, that could easily play alongside Indian or Garifuna genres (and has!). The Collective will also remind you of Celtic music. That’s no coincidence as Brittany is one of the six Celtic nations. The ancient musical form Kan Ha Diskan (meaning “to sing and unsing”), as performed by the Collective, includes pulsing accordion, spritely bouzouki, and call-and-response vocals that duel and converse. [click here for video of the Collective performing for Radio France] “It is a kind of a friendly battle between the musicians, and the overlay of the end of each phrase fills the tune with energy,” says Alain LeClere, a vocalist with the Collective. “There is always improvisation in the tone and the rhythms, but still keeping in the dance’s frame.” Throughout this call-and-response, the endangered tongue they’re singing in is a rare sound indeed. UNESCO has declared Breton a ‘severely endangered language,’ spoken by only about 210,000 people worldwide. Beyond preserving a distinct culture, the duty of a Kan Ha Diskan musician is to guide listeners to the dancefloor and keep them there. “It’s all for dancing,” says Charles Kergaravat, founder of Breizh Amerika. “You have to realize that they are held to really high standards by the dancers. It’s all about rhythm.” Some of the songs can last fifteen minutes or more. Mercifully, the musicians keep a close eye on the dancers’ collective stamina, punctuating their sets with slower, restful numbers, only to crank it up again for another sweaty marathon. As a culture, Bretons have never been afraid of a little sweat. “One of the best compliments you can pay to a Breton is telling him he is a hard worker,” says LeClere. They are as dedicated to their work ethic as they are their dancefloor. In fact, many Americans have Breton blood in their family tree because of this work ethic. During the Industrial Revolution, the Michelin Tire Company took root in central France and became well-acquainted with the elbow-grease that accompanied their Breton employees. In 1907, when Michelin decided to open a factory in Mill Town, New Jersey, the corporation recruited heavily in central Brittany to share this work ethic overseas. Later, a second wave of Breton immigrants arrived in the US throughout the 1950s and 1960s. In a mechanized world, farms in Brittany no longer needed as many workers, so they flocked through New York City and met great success in all facets of the restaurant industry, preceded by the great reputation of French cuisine. Breton restaurants like Le Bernardin, widely regarded as the best seafood restaurant in the US with its three Michelin stars, remain open and thriving today. But even if you have no Breton culture among your ancestors, the The Breizh Amerika Collective is more than willing to share and induct you as their own, rope you around the hips into an experience that can only be described as Fest-Noz, an immersive party, powered by intense camaraderie among the singers, musicians, and dancers, an experience so distinctive, it's been declared an intangible treasure of humanity by UNESCO. “A Breton always keeps and shares his roots,” LeClere states. “He will proclaim it and remain proud.” Follow The Breizh Amerika Collection on Twitter: @BreizhAmerika |
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Breizh Amerikais an organization established to create, facilitate, promote, and sponsor wide-ranging innovative and collaborative cultural and economic projects that strengthen and foster relations and cooperation between the United States of America and the region of Brittany, France. |