 Sunnyside, Queens art by Sen2 La région métropolitaine de New York est le centre urbain le plus diversifié sur le plan linguistique au monde, probablement dans l'histoire du monde. Sur la base d'une décennie de travail, Endangered Language Alliance a cartographié quelque 650 langues et dialectes sur plus de 1000 sites importants dans la région, y compris des quartiers, des institutions communautaires, des restaurants et d'autres endroits où il y a ou était au moins un locuteur. Il s'agit de la première carte détaillée de la ville produite par un linguiste. La carte a été publiée en décembre 2019 - cité dans Time Out, Gothamist et ailleurs, et notée dans le New York Times - pour coïncider avec l'Année internationale des langues autochtones organisée par l'ONU et la préparation du recensement critique américain de 2020. La carte s'engage à représenter un grand nombre des langues plus petites, minoritaires et autochtones qui sont principalement orales et qui n'ont ni visibilité publique ni soutien officiel. Il représente l'effort continu d'ELA pour s'appuyer sur toutes les sources disponibles, y compris des milliers d'entretiens et de discussions, pour raconter l'histoire continue des nombreuses langues et cultures de la ville. Les modèles qu'il révèle - le regroupement des langues ouest-africaines à Harlem et dans le Bronx, un microcosme de l'ex-Union soviétique dans le sud de Brooklyn, la diversité multilingue des langues asiatiques du Queens, pour n'en nommer que quelques ville où un seul bâtiment ou bloc peut accueillir des locuteurs de dizaines de langues du monde entier. Le Breton dans le Queens et le West SideQueens, NY est un quartier où se sont installés de nombreux immigrés bretons. A tel point que lorsque la Endangered Language Alliance a dressé la carte des milliers de langues menacées parlées quotidiennement à New York, elle a ajouté le breton dans le Queens. 
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 Speakeasy Rejoignez Breizh Amerika pour une discussion en live avec l'historien, Olivier Le Dour, pour découvrir l'histoire inconnue du gangster Breton de New York. Inscrivez-vous - le 2 décembre (18H30 Bretagne, 12h30 NYC) L’heure de gloire d’Yves Le Roux sonne en 1928 et 1929, dans le New York de la prohibition où son bar clandestin (son speakeasy), Le Consul Breton, est le rendez-vous des Bretons de New York, à la recherche d’un coup à boire, d’un coup de main, d’un emploi, d’un logement, de nouvelles du pays ou … d’une jolie femme. Yves Le Roux est au centre de ce réseau, mais côtoie aussi la pègre new yorkaise qui l’approvisionne en boissons alcoolisées illégales. Il affirmera même avoir eu de bonnes relation avec ... Al Capone lui-même. Aujourd’hui, Olivier Le Dour s’attache à reconstituer la vie d’un personnage haut en couleurs et pourtant pratiquement inconnu. Un peu marin, un peu voyou, dur à cuire, aventurier, Yves Le Roux était né à Langonnet en 1887. Ses aventures l’ont mené sur cinq continents, sur le front de Champagne et celui d’Orient pendant la 1ère guerre mondiale, au bagne militaire et en prison, en Albanie, en Indochine, en Argentine et sur le chantier du canal de Panama. Inscrivez-vous pour cette discussion en live avec Olivier qui nous parlera de son projet. Il répondra à vos questions et, qui sait, peut-être se trouvera-t-il un descendant de ces Bretons de la prohibition new yorkaise pour éclairer quelques aspects encore inconnus du Consul Breton et de son propriétaire.
 Breizh Amerika Startup Contest à NYC, avec les startup bretonne Facetts, Claripharm, Woleet, Apizee Qu'est ce que le Breizh Amerika Startup contest ? On a créé l'organisation Breizh Amerika pour faire des ponts, à la fois culturels et économiques, entre la Bretagne et les États-Unis. La Bretagne est une terre d'innovation. L'idée de ce concours est de mettre en avant ces startups, qui rayonnent à l'échelle de la région mais qui ont du mal à percer à l'international. Ce concours est un accélérateur. Pendant une semaine, à New York, ils peuvent rencontrer des investisseurs, comprendre le marché américain et apprendre à créer une filiale. Qui sont les entreprises sélectionnées pour partir ? Pour cette deuxième édition du concours, quatre startups sont parties. En deux ans, il y en a eu plus de 70 participants. Parmi les entreprises gagnantes en 2017, deux sont rennaises. Il s'agit de Facetts, un nouveau réseau social qui protège l'identité, et Woleet, qui travaille sur le blockchain. Les deux autres entreprises sont Claripharm, fabricant de dispositifs médicaux innovants et Apizee, une plateforme pour les communications temps-réel web et mobile. Qu'est-ce qu'un entrepreneur breton gagne à se rendre aux Ètats-Unis ? Énormément. Premièrement, il s'agit d'un pays beaucoup plus grand : il faut comprendre la carte selon les secteurs. La cybersécurité est mieux implantée en Virginie, par exemple. Légalement aussi, les normes sont différentes. Les entrepreneurs doivent adapter leurs produits, notamment en pharmacie ou en alimentation. Ce voyage est surtout l'occasion pour eux de rencontrer des investisseurs, de se mettre en réseau. Les contacts ne tombent pas du ciel. Et quand on est loin, on ne sait pas où débuter. Source - Ouest France  Du 13 au 18 mars, les Lorientais vont débarquer en force à New-York. Le bagad Sonerien an Oriant est invité à défiler dans la grande parade de la Saint-Patrick. L'Interceltique accompagne le mouvement et crée un "fest-noz in the big apple" avec ses partenaires, Breizh Amerika et l'association des Bretons de New York. 2016 a été une sacrée année pour Sonerien an Oriant, le bagad de Lorient. Il a rejoint l’élite des formations bretonnes, en 1re catégorie. Et, en plein Festival interceltique, il a reçu une invitation pour célébrer la Saint-Patrick, à New York. Une invitation remise par Hilary Beirne, président de la grande parade. Le 17 mars, ils seront 43 musiciens lorientais à défiler notamment dans la mythique 5e avenue. L'Interceltique dans le mouvement Le Festival interceltique de Lorient a décidé d’accompagner le mouvement. Il s’est appuyé sur ses réseaux et partenaires, les associations Breizh Amerika et les Bretons de New York, pour créer l’événement « Interceltic New York : fest-noz in the big apple ». Le 14 mars, autour Solas, groupe américo-irlandais qui sera en tournée d’adieu, des musiciens bretons, asturiens, galiciens et écossais partageront l’affiche. Les liens renforcés outre-Atlantique A travers cette présence, l’Interceltique resserre les liens économico-culturels outre-atlantique. En 2016, des échanges avec la Louisiane ont déjà été fructueux. Une belle perspective pour l’Interceltique qui se fixe un cap ambitieux pour 2020. Source - Ouest France 
Grande surprise pour le Bagad de Lorient, hier soir au Club K du festival. « Vous êtes invités à célébrer la Saint-Patrick à New York », leur a annoncé le maire, Norbert Métairie, après les avoir félicités de leur accession, de nouveau, « en ligue 1 ». À ses côtés, le président de la Fondation de la Saint-Patrick de New York, Hilary Beirne, a confirmé cette invitation officielle à célébrer la Saint-Patrick 2017 sur la 5e avenue. Charles Kergaravat, fondateur de Breizh Amerika, ne cachait pas sa joie de faire voyager les Bretons aux États-Unis. « C'est la cerise sur le gâteau ! Le but n'est pas de rester seulement à New York, nous avons des touches à Washington aussi, et dans d'autres villes ». Le 17 mars 2017, donc, c'est de l'autre côté de l'Atlantique que le bagad de Lorient sonnera. Source : Le Telegramme
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Breizh Amerikais an organization established to create, facilitate, promote, and sponsor wide-ranging innovative and collaborative cultural and economic projects that strengthen and foster relations and cooperation between the United States of America and the region of Brittany, France. 
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