Lite Linguistics is a TikTok channel focused on world languages. They recently produced a video on Breton language. This is how they explained it. "Hello welcome to lite linguistics Meet Breton a Celtic language spoken in the Brittany region of Northwestern France Around 275 BCE there were Celtic languages all over Europe, spanning all the way from Iberia to Anatolia but as the Latin speaking Romans and the various Germanic tribes came in they pushed these Celtic peoples out. Which leaves us with just these modern day darker green Celtic languages. Now Breton is the only Celtic language remaining on the European mainland but even then it was brought over by Celtic speakers from Great Britain around the year 800 AD. So it's more closely related to Welsh and Cornish than it is to any extinct Celtic continental language the government of France has tried to put it down many many times throughout the centuries. Breton has no status at the national level. Breton is the only Celtic language that has no recognition in their national government but despite all the opposition people keep speaking it and keep learning it."
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C'est Quoi le Chouchen ?Le chouchen est un alcool traditionnel de la région de Bretagne. Il est fabriqué à partir de miel fermenté, ce qui lui donne un goût sucré et fruité. Le miel utilisé pour la production de chouchen est généralement produit localement, ce qui lui confère un goût unique en fonction des fleurs et des plantes présentes dans la région. Le processus de fermentation est très similaire à celui de la production de hydromel, qui est fabriqué à partir de miel et d'eau. Le chouchen est consommé principalement en Bretagne. Il est également souvent utilisé pour accompagner des plats à base de fruits de mer et de poisson, car il souligne les saveurs de ces aliments. Il est important de noter que le chouchen est un alcool fort, avec une teneur en alcool allant généralement de 15 à 20%. Il est particulièrement populaire dans le Finistère, qui est la région la plus à l'ouest de la Bretagne. Cette région est réputée pour ses cidreries et ses producteurs de miel, qui fournissent les ingrédients de base pour le chouchen. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la vente du chouchen était principalement limitée à certaines communes de la Bretagne, comme Elliant, Langolen, Tourc'h, Coray, Scaër, Leuhan, Laz et Rosporden. Cette dernière ville, considérée comme le centre de la production, a décidé de lancer une production semi-industrielle qui a contribué à la reconnaissance de Rosporden comme la "capitale du chouchen" un titre attribué par l'écrivain Pierre-Jakez Hélias en 1961. L'histoire du ChouchenIl est difficile de dire quand exactement le chouchen a été créé, mais il est probable qu'il ait été consommé depuis des siècles par les Celtes et les Gaulois de la région. Les moines bretons ont également contribué à sa production au Moyen Âge, en utilisant leur savoir-faire en matière de fermentation pour créer des boissons alcoolisées à partir de différents ingrédients locaux, y compris le miel et l'eau de cidre. Il faut attendre le XXe siècle pour que l’hydromel retrouve sa place de choix, car sa consommation avait diminué au Moyen Âge en raison de la préférence pour le vin considéré comme plus noble. Cependant, dans le mouvement de renouveau culturel et musical de l'après 1968, l'hydromel est devenu une boisson identitaire bretonne, associée à l'essor des festoù-noz. Au cours des siècles, le chouchen a été consommé principalement par les habitants de la Bretagne, mais il est devenu plus populaire auprès des touristes et des personnes intéressées par les boissons traditionnelles. Il est maintenant considéré comme une boisson emblématique de la région et est servi lors des fêtes et des événements traditionnels. Aujourd'hui, le chouchen est produit de manière artisanale, en utilisant des méthodes traditionnelles pour garantir sa qualité et sa saveur authentique. Il est souvent servi chaud, accompagné de crêpes bretonnes ou d'autres plats locaux. Recettes de chouchenVous cherchez à découvrir les saveurs uniques de la Bretagne? Voici une recette simple pour faire du chouchen : Ingrédients :
Préparation :
Recette Poulet au ChouchenVous cherchez à ajouter une touche de saveur bretonne à vos repas de poulet? Découvrez notre recette de poulet au chouchen, une préparation savoureuse qui allie les saveurs de la Bretagne à celles de la cuisine traditionnelle française. Le chouchen, boisson fermentée à base de miel et d'eau de cidre, apporte une saveur douce et acidulée qui se marie parfaitement avec le goût du poulet. Voici une recette pour préparer un poulet au chouchen : Ingrédients :
Préparation :
Note : Vous pouvez également utiliser des morceaux de poulet comme des cuisses ou des ailes pour cette recette, ou même utiliser des morceaux de porc ou de veau. Vous pouvez également ajuster la quantité de chouchen en fonction de vos goûts Découvrez les cocktails à base de chouchenComment boire le chouchen? Le chouchen est une boisson polyvalente qui peut être consommée à l'apéritif, en entrée ou en dessert. Il se marie particulièrement bien avec des aliments sucrés. Il existe différents types de chouchen, selon son taux de sucre : sec, demi-sec, doux ou liquoreux. Il est conseillé de le boire pur, frais, entre 8 et 10 degrés Celsius et sans glaçons pour apprécier toutes les saveurs de la boisson. Le chouchen peut être utilisée pour créer des cocktails originaux et savoureux. Il apporte une saveur douce et acidulée qui se marie parfaitement avec des ingrédients comme la liqueur de poire, la grenadine, le jus de citron vert, l'Aperol ou la vodka. Il y a plusieurs cocktails que vous pouvez préparer avec du chouchen :
Notez que ces cocktails peuvent être adapté selon les gouts, et que vous pouvez ajouter ou enlever des ingrédients pour les adapter à vos préférences. Producteurs artisanaux de chouchen en BretagneIl existe de nombreux producteurs artisanaux de chouchen en Bretagne. Voici quelques exemples de producteurs connus :
Ces producteurs artisanaux sont réputés pour la qualité de leurs produits, ils sont donc un excellent choix pour les amateurs de chouchen qui recherchent une boisson de qualité supérieure. Le colloque “Armand Tuffin de la Rouërie, les relations entre la Bretagne et les États-Unis, XVIIe – XXIe siècles” organisé par l’Institut Culturel de Bretagne, en collaboration avec Breizh Amerika, se tiendra le samedi 28 janvier 2023 à l’Institut Franco-Américain de Rennes (7 quai Châteaubriand 35000 Rennes). “Armand Tuffin de la Rouërie, les relations entre la Bretagne et les USA le samedi 28 janvier 2023 à l’Institut Franco-Américain de Rennes Programme Le matin, partie historique 10h Introduction par Virginia Manhard-Lubin (présidente de l’IFA) et Jacky Flippot (président de l’ICB/SUAV) 10h15 La Rouërie et la révolution américaine. Le général fondateur de la cavalerie américaine par Thierry de Navacelle 11h La Rouërie et la révolution française par Jean-Jacques Monnier et Olivier Caillebot 11h45 Table ronde animée par Joël Bigorgne, directeur d’Ouest-France 22 : La Rouërie aujourd’hui. En BD avec Thierry Jigourel, en roman avec François-Xavier Lefranc et en fiction avec Thierry de Navacelle. L’après-midi, Les relations américano-bretonnes aux XXème et XXIème siècle 14h30 L’émigration bretonne aux Etats-Unis au XXème par Charles Kergaravat 15h15 Les USA en Bretagne. La présence américaine à Brest en 1917 par Benoit Quinquis 16h Actualité culturelle et économique des relations Bretagne – Etats-Unis par Eric Beaty, Spécialiste Èconomique et Commercial du consulat des Etats-Unis 16h30 Conclusion par Elizabeth Webster, U.S. Consul for Western France Entrée
Gratuite. Colloque ouvert à tous dans la limite des places disponibles. Il est prudent de réserver ! 02 97 68 31 10 ou 07 68 40 66 93 ou encore : [email protected] Déjeuner Le repas est prévu au restaurant La Fabrique, à 4mn à pied de l’Institut Franco-Américain. Sur inscription uniquement : Fiche d’inscription au repas Formule unique : plat + dessert + 1 verre de vin + café ou thé = 20,00€ Adresse Institut Franco-Américain, 7 quai Châteaubriand 35000 Rennes Rejoindre l’institut Il n’est pas possible de se garer sur le quai devant l’institut, mais il existe des parkings à proximité : Parking Kleber C-Park, Parking Vilaine C-Park, Parking Anaïs Si vous venez à Rennes en train, l’institut n’est qu’à 15mn à pied de la gare. Il suffit de descendre tout droit l’avenue Janvier qui rejoint les quais de la Vilaine, et de traverser le pont Pasteur. L’institut est sur la gauche, à quelques pas. Vous pouvez aussi prendre la ligne B du métro à la gare et descendre à la station St Germain, 5mn plus tard… The Marquis de La Rouërie: A Breton Hero of the American Revolution Charles Armand Tuffin, marquis de La Rouërie, is a hero of the American Revolution whose contributions to the cause of American independence have been largely forgotten by history. A nobleman and military officer, de La Rouërie was a friend of George Washington and fought alongside the Continental Army as the leader of the Free French Corps, also known as "Colonel Armand". Despite his bravery and dedication to the American cause, de La Rouërie has been largely overlooked by history, and his name is not as well-known as those of other figures of the American Revolution. However, his contributions to the war effort and his friendship with Washington make him a significant and fascinating figure in the history of the American Revolution, and it is time for him to be recognized as the hero he was. In this article, "Colonel Armand, of the Revolutionary War" by J.G. Rosengarten, the life and contributions of Charles Armand Tuffin de La Rouërie are explored in depth. Rosengarten's article from 1898 delves into de La Rouërie's background and motivations for supporting the American cause, as well as his life after the American Revolution. This article provides valuable insights into the life of a lesser-known but important hero of the American Revolution. Source: The Pennsylvania Magazine of History and Biography , 1898, Vol. 22, No. 2 (1898), pp. 234-242 The Marquis de La Rouërie: A French Nobleman's Service to the American CauseOne of the brilliant Frenchmen who figured with distinction in our War of Independence was Armand, Marquis de la Rouerie. He raised and commanded a legion which distinguished itself in our service. In the Revue des Deux Mondes of April 15,1898, is the first part of a sketch of his life, drawn from original and little known printed sources by T. G. Lenotre, and the story, continued in successive numbers for May and June, well deserves to be told in an abridged form, as throwing light on one, at least, of our brave allies. Armand de la Rouerie was the complete personification of a gentleman of the ancien regime of the old school of France. He had alike their faults and their virtues, easy morals, carelessness, bravery, pride, imprudence, chivalric heroism, and an absolute contempt of death. In the French Revolution he showed courage, pride, stoicism, astonishing in a man whose youthful frivolous existence seemed a preparation only for pleasure and idleness, under the training of a dissolute uncle, a Breton gentleman, who, after thirty years with his regiment or in his quiet country home, inherited a fortune and spent it in extravagant living in the fashion of the time. He was the guardian and mentor of his nephew, Charles Armand Tuffin de la Rouerie, flag ensign in the regiment of French Guards. This lad, at seventeen, was brought to Paris and taught the pleasures of life there. With a generous and impressionable heart, a bright face, and an attractive figure, he showed himself an apt pupil. Left by the early death of his father to the care of a young mother, pretty and fond of pleasure, he received a brilliant rather than a solid education, spoke English and German fluently, danced Well, and was ready to follow any impulse given him by his elders. He became the leader of the young men of his set, had love affairs and quarrels, in one of his duels severely wounded his own cousin, took opium, but, restored to life, fled to Geneva, resigned from the army, and then, resolved to regain by some bold step the reputation perilled by his mad career, bade good-by to his mother, and with three servants sailed for America, reaching that country in April, 1777. He left in France a natural son, to whom he gave his name, and who later in his life figured in his adventurous career. The enthusiasm of the French nobility for the cause of American independence was one of the striking incidents in French history. Abandoning their luxurious lives, they seemed to draw fresh and wholesome influence from the plain and sturdy people for whose liberty these soldiers of a king gave their whole strength. It was more of a passionate outbreak than a careful and well-considered adhesion to republican ideas. It soon influenced their countrymen, who took it for a serious conviction of the truths proclaimed by the American patriots. The Marquis de la Rouerie was one of the first to reach America; he got there before Lafayette had left France. He came in search of liberty and ad ventures, and he found both in abundance. After a passage of two months, his vessel was attacked by an English frigate, which destroyed his ship, but with his three servants he swam ashore, naked, all his supplies of every kind being lost in the wreck. He obtained from Washing ton permission to raise a legion, but sought in vain for vol unteers. The French were not popular ; the first comers had offended the Americans by their pretensions and their bad behavior. The cool reception given to Armand might well have sent him home, but he persisted, bought for two thousand four hundred livres a free corps formed by a Swiss major, and was ready to take part in the campaign of 1777. Commanding an irregular body of troops, with absolute liberty to go where he liked, the war of surprises and ruses, nights passed in the open air, the attraction of danger, improvised camps, the life of a partisan, without thought of the morrow or care for the day, without law, without prejudices, without subjection to authority, all this suited him so well that he soon gained the reputation of a hero and quite unfitted himself for the narrow course of European life. Colonel Armand, as he called himself, became as popular as Lafayette, and Chastellux, meeting him at dinner at the French minister's (Luzerne) in 1780, spoke of him as cele brated in France for his adventures with an actress, and in America for his courage and capacity. He pleased the Americans by the simplicity with which he adopted republican morals, he won the affection of the French by his bravery and modesty, he gained the admiration of both by his heroic courage and his unconquerable firmness. The legion which he commanded was destroyed at the battle of Camden in South Carolina. He went to France, bought all that was necessary to arm and equip new partisans, offered them to Congress, reorganized his legion, at Yorktown led an attack on the enemy's works, and Washington rewarded him by giving him the choice of fifty volunteers to reinforce his legion. Everywhere he was at the fore-front, showing himself indifferent to every danger, seeking the most perilous post, and, the war over, remained in America to urge due rewards to his countrymen. The first to come, he was the last to leave, and returning at last to France, found all positions filled, and, tired of solicitation, retired to his estates to complain of ill-treatment from his own country. He brought home from America nothing but the Order of the Cincinnati and fifty thousand francs of debt, an old companion in arms, Major Schaffner, and opinions of the most advanced kind. His only rank was that of brigadier general of the United States. In 1785 he married a rich woman of rank, who died in 1786. De La Rouërie returns to France, leader of l'Association bretonne Tired of his life as a country gentleman, he threw himself into the struggles that preceded and presaged the coming storm of the French Revolution. He was one of a delegation of Breton noblemen sent to Paris in 1788 to offer their services to the King, landed in the Bastille, left it in a blaze of glory, was both revolutionist and royalist, full of activity in pressing his claims, tore down his ancestral home to replace it by a vast castle, still standing unfinished, surrounded it with trees from America, still growing, but finished nothing, and spent most of his time and fortune in Paris on another actress. He threw himself into politics, but could not secure the support of his fellow-noblemen, quarrelled with his brother, and had a curious love affair with his cousin, a young woman who shared his aspirations and the tangled web of royalist conspiracies in which he engaged with characteristic zeal, passion, and want of judgment. He rivalled Lafayette and Lauzun and La Roche jaqueluein in public notoriety by his wild career, and won the praise of Chateaubriand and the admiration of the law students of Rennes. His first ally was his old American companion in arms, Major Schaffner, a poorly educated man, who never learned to speak French intelligibly; his only support at first was a half crazy Breton nobleman, whose chateau was the gathering place of all the discontented royalists. Armand de la Rouerie was at last recognized by Comte d'Artois, brother of the King, then in prison, and visited him at Coblentz, taking along his fair cousin, his valet, his barber, and his body-servant, and set on foot a series of conspiracies against the French government which gave it a great deal of trouble, caused the loss of many valuable lives, and did little real service to the cause of the King. He enlisted one of his old comrades in America, Georges de Fontevreux, nephew of the Dowager Princess of Deux Ponts, who had served with distinction in both France and America, spoke English and German fluently, and was ready for any madcap adventure. Armand, on his return from the exiled court, stayed in Paris long enough to renew his old acquaintances, and with characteristic thoughtlessness revealed his secrets to those among them who were as devoted to the republic as he was to the crown. Returning to his country home, he became the head of a conspiracy which is still famous in French history. He brought together all who were dissatisfied with the republic, honest loyalists like himself, men who were outraged by the removal of the faithful old priests so dear to Breton piety, making each parish the centre of a group sworn to avenge the injury done their pride as royalists or their piety as good and fervent Catholics. He organized local councils and bodies representing them. He gathered around him men of all ages and all types, and asked of them no act of devotion which they were not ready to do at the sacrifice of life, if need be. As chief he showed an utter want of capacity, and this fault was heightened by want of means to arm his forces and to give them the opportunity of living and of executing his wild and fantastic orders. He lived in his castle on a grand scale, with fourteen servants, ten saddle-horses, and an endless succession of peasants, spies, recruits, emissaries (table free to all), and volunteers mounting guard and patrolling his estate. He got money from the exiled court through agents who carelessly revealed his secrets to friends in Paris who were spies for the government, thus putting at risk his life and that of every man sharing in his conspiracy. Supported by the exiled princes, Armand de la Rouerie was confident of success. He commanded in their name in Brittany, and instead of the legion of adventurers and deserters he had led in America, was at the head of a considerable army of peasants, and his staff was made up of distinguished noblemen. His chateau was the general head-quarters, his chief of staff his fair, if frail, cousin Therese de Moelien, who rode about the country dressed like an Amazon, with gold epaulettes and the Order of the Cincinnati attached to a blue ribbon, and a white plume in her hat. The chateau was regularly garrisoned, a score of troopers exercised daily on the lawn, sentinels kept guard, the entrances were barricaded, and nightly gatherings filled the house with light and noisy enthusiasm. Besides drawing freely on the royal purse, his well-to-do allies gave him a year's revenue. Six thousand muskets were secured, four guns were mounted, abundant supplies of ammunition were brought from England, and cartridges were made in a secluded house which served as an arsenal. Ready by the spring of 1792, General Armand obtained from the royal princes, brothers of the imprisoned King of France, a formal order giving him full power. The royalist army under the Duke of Brunswick was to march from the north, Armand with ten thousand men from the west, and, concentrating at Paris, the King was to be freed, the Assembly dispersed, and the royalists again put in power? On a given Sunday peasants and noblemen crowded the chateau ; the former were supplied with food and beer, the latter with champagne, and gaming tables were started for their amusement. At last the Marquis Armand de la Rouerie appeared in full uniform, his commission was read, and he addressed the crowd in energetic phrases. This was the first scene in that royalist enterprise in which for long years life and fortune were wasted by men who underwent every sort of hardship, nights without sleep, winters without shelter, proscribed, in hiding, shot down like wild beasts, and twenty years after even Napoleon spoke with respect of the little band that still fought on ; the peasants led by their priests, the noblemen abandoning their homes, a price set on the head of their leader, who was sheltered in one chateau after another by noblemen always ready to protect the representative of the crown and of the church. Among the peasants were men of real genius for the sort of war thus set on foot, and both the wild nature of the country and of its inhabitants enabled them to resist invading armies of the republic far larger in number and far better equipped. Armand was the head of this force, appointing its chiefs, supplying arms and food and money, planning its operations, and responsible alike for its successes and its failures. All this time he was in close contact with men who betrayed his every movement, almost his very thoughts, to the republican leaders in Paris. One of these spies lived in daily intercourse with Armand and his friends, and went from their intimate meetings to Paris to report everything that was said and done. He even persuaded the royalists that the republican leaders were their friends. Armand sent this chief conspirator to represent him in London, and took him along in his conferences with the leading royalists. From these meetings this clever spy hurried to Paris to make his reports, returning with other confederates to keep alive the intrigues in which Armand and his friends were going deeper and deeper. For three months this able scoundrel lived in daily contact with the royalists in Jersey, Dover, London, and Liege, was presented to the Comte d'Artois and his ministers, pretended to help their plans, and kept up correspondence alike with the royalists, the Breton conspirators, and the republican government. Armand was stirring his peasant soldiers and his noble officers to all sorts of desperate enterprises, often leading them to acts of heroism in open combat, earning the confidence of his fellow-royalists and inspiring them with his own unshaken faith in the triumph of the good cause, when he should enter Paris at the head of an army of peasants, singing their old Breton songs and full of hope for King and Church. De La Rouërie's last daysAmong the warm supporters of Armand was one of the Breton noblemen, who remained in his old chateau in this eventful month of January, 1793, with wife and daughters and a retinue of servants. There Armand had found shelter repeatedly, and there he came on January 12, 1793, after weeks spent in tireless activity, visiting the chiefs of his local bands, changing his place of refuge every night, sleeping sometimes in the forests, sometimes in hidden huts or caves. His indomitable tenacity of purpose, his success in escaping pursuit, and the romantic circumstances of his tragic death left traditions that are still familiar legends in this part of Brittany. His last visit ended in his death on January 30, 1793, after a desperate illness, in which his faithful friends sought to give him every care; but his horror on suddenly receiving news of the death of the King on January 21 ended in his own. The grief of his faithful friends was heightened by their anxiety, and a last resting-place was secretly given him in the grounds of the chateau, while measures were taken to preserve its identity. The certificate of death, hidden at the foot of an oak, was found there in 1835, still legible. His private papers were taken for greater security to the chateau of another of his faithful allies, and for a few days all passed tranquilly in the house where Armand ended at forty-two his adventurous life. Following closely came the visit of Chevetel, who pretended to be one of the royalist conspirators, while he was actually a spy in the service of the French republic. During Armand's last illness, Chevetel sent a report to him of the visit he had made to the royalists in Belgium, and another to the authorities in Paris with the details learned during his stay with the conspirators. Returning to Brittany with a fellow-spy, armed with authority to use soldiers and police, with powers of life and death, so little confidence had the government in these agents that other secret agents were sent to follow them and report their every action to the central authority in Paris. Even the two spies mistrusted each other, and each tried to have the other arrested and imprisoned. Chevetel maintained the character of being a royalist only to penetrate the secrets of Armand's friends and to reveal them to the government, while he tried hard and successfully to keep up his disguise. Finally both appeared at the chateau where Armand had died, and there arrested the whole family of his friends and sent them to Paris, where they met death on the scaffold with heroism worthy of a better cause. These spies even unearthed the remains of Armand and made a detailed report of its condition, still preserved in the archives of the government in Paris. The head of Armand was put on a pike and exhibited to the gaping crowd. The chateau was pillaged, yet it still remains a mute witness of the dreadful scenes of those trying times. Even the room in which Armand died is kept as it was at the time of his death, and his tomb in the woods near the house is a pile of rough stones, surmounted by an iron cross, of which the arms bear the insignia of Brittany and the lilies of France, and the inscription preserves the legend, " Armand, Marquis de la Rouerie, died January 30, 1793 : he died of his fidelity to his King." A descendant of his last and faithful friend still lives in the old chateau, an old woman who for more than eighty years has occupied it, preserving the memory of its hero, whose portrait still hangs on its walls. For him, her memory is full of tender indulgence and admiration, and her fidelity is worthy of her glorious race, of men faithful to their King at every sacrifice and ready to give life and fortune in his behalf. The story of the hardships inflicted on the family that sheltered Armand in life and death is characteristic of the mingled horrors and levity of that awful time. Dragged from one town to another, threatened with death, insulted, robbed, receiving protection from the agents of the government only in the hope of plunder, their fate is part of the history of the period. The agents and spies quarrelled over the division of their spoils, and the government, after using them to bring the poor victims of their loyalty to the scaffold, sent one to Venice to watch their own agent; the other lived to a venerable age, having served in succession every dynasty of France down to his death. The memory of poor Armand passed into oblivion, and only now is restored to the light of day by the faithful chronicler of his sad story. M. Lenotre has traced, out of forgotten archives, every step of Armand's last days and the fate of his fellow-royalists, conspirators for the cause of the King. Is there any trace of the " Major Schaffner," the American who shared Armand's adventures in both the Old World and the New, or is he, too, a shadow? What Armand and his fellow Frenchmen did for this country in its time of need may well justify our interest in their subsequent career. The story of our French allies can be finally told only by tracing out their lives after their return home. This it is that M. Lenotre has done for Colonel Armand. "Colonel Armand, of the Revolutionary War" is an article from The Pennsylvania Magazine of History and Biography, Volume 22. Webcam Pointe du Raz : une vue imprenable sur l'océan en temps réelLe Pointe du Raz est un site naturel d'exception situé en Bretagne, en France. Cet endroit est très apprécié pour ses paysages exceptionnels qui offrent une vue imprenable sur l'océan Atlantique et les îles de la côte. Les falaises escarpées et les vagues puissantes qui caractérisent le Pointe du Raz en font également un spot de choix pour les surfeurs. La promenade le long du promontoire rocheux est un véritable moment de détente et de découverte. N'hésitez pas à y faire un tour lors de votre prochaine visite en Bretagne ! La Pointe du Raz, c'est ou ?La Pointe du Raz est située sur la côte bretonne, dans le département du Finistère en France. C'est un promontoire rocheux qui s'avance dans l'océan Atlantique, offrant une vue panoramique sur les îles de la côte. La Pointe du Raz est facilement accessible depuis la ville de Plogoff, qui se trouve à proximité. Depuis Plogoff, vous pourrez prendre la route qui longe la côte et qui vous mènera directement au Pointe du Raz. Vous pourrez également emprunter les nombreux sentiers de randonnée qui partent de Plogoff et qui vous permettront de découvrir toute la beauté de la côte bretonne. Voici comment se rendre à la Pointe du Raz :
Webcam Pointe du RazDécouvrez la webcam de la Pointe du Raz, Grand Site de France, à Plogoff. Elle offre une vue panoramique sur le Raz de Sein, le phare de la Vieille et l'île de Sein, en direct et 24h/24. Installée sur le promontoire rocheux, la webcam offre une vue imprenable sur l'océan et permet de suivre les conditions météo en temps réel. Que vous soyez sur place ou à distance, la webcam de la Pointe du Raz vous permet de profiter de cet endroit emblématique de la côte bretonne. Webcam proche de la Pointe du Raz
Voici la liste des 15 webcams les plus proches de Plogoff - La Pointe Du Raz, cliquez sur les liens ci-dessous pour visiter ces autres webcams :
- Plogoff (2.66 km) - Cléden-Cap-Sizun (2.79 km) - Île de Sein (8.14 km) - Esquibien (14.07 km) - Esquibien - Le Pouldu (14.27 km) - Audierne - le Port (15.16 km) - Audierne - la Passerelle (15.36 km) - Plouhinec - Pors Poulhan (21.51 km) - Douarnenez - Les Sables Blancs (29.64 km) - Douarnenez - le Port Rhu (30.73 km) - Douarnenez - Port Rosmeur (31.48 km) - Plougonvelin - Le Trez Hir (34.24 km) - Le Conquet - Kermorvan (36.15 km) - Brest (43.42 km) - Brest - Moulin Blanc (45.28 km) - Quimper (47.6 km) Meteo Pointe du Raz
Suivez les conditions météo à la Pointe du Raz ☀️?
Combien de temps pour visiter la Pointe du Raz
Il est difficile de déterminer combien de temps il faut pour visiter la Pointe du Raz, car cela dépend de vos intérêts et de la durée de votre séjour dans la région. Si vous souhaitez simplement vous promener le long du promontoire rocheux et profiter des vues panoramiques sur l'océan, il vous faudra environ une heure.
Cependant, si vous souhaitez également visiter les alentours et découvrir les nombreux sentiers de randonnée qui partent de la Pointe du Raz, il vous faudra sans doute plus de temps. Il y a plusieurs circuits de randonnée de différentes durées qui partent de la Pointe du Raz et qui vous permettront de découvrir toute la beauté de la côte bretonne. Si vous souhaitez suivre l'un de ces circuits, il vous faudra compter environ deux heures pour un circuit de 10 km ou bien une journée entière pour un circuit de 20 km. Il est également possible de visiter la Pointe du Raz en une journée si vous y allez en voiture et si vous faites une simple halte pour admirer les vues et vous promener un peu. Si vous souhaitez en savoir plus sur la région et sur ses attractions, il vous faudra peut-être plus de temps pour visiter la Pointe du Raz et ses alentours. Dans tous les cas, n'hésitez pas à vous renseigner auprès des offices de tourisme locaux pour connaître les différentes options qui s'offrent à vous. Que faire à la Pointe du RazVoici une liste de propositions d'activités à faire à la Pointe du Raz et dans les alentours :
Parking Pointe du RazLe stationnement sur le parking de la Pointe du Raz est payant du 2 avril au 13 novembre 2022, le site naturel est accessible toute l'année. En période payante, les visiteurs sont invités à régler leur contribution en prenant à leur arrivée, à l’un des horodateurs, un ticket à afficher sur leur véhicule. Il s'agit d'un forfait journalier : - voiture / camping-car 8 € - car / caravane / véhicule attelé / camping-car (jour+nuit) 15 € - demi-tarif pour les véhicules légers de 19h à minuit 4 € - abonnement annuel voiture 15 € Restaurant Pointe du RazLa région de la Pointe du Raz regorge de restaurants proposant une cuisine traditionnelle bretonne. Si vous cherchez un endroit où manger à proximité de la Pointe du Raz, voici quelques exemples de restaurants qui pourraient vous intéresser :
Fumoir de la Pointe du RazSitué à la sortie d'Audierne, en direction de la Pointe du Raz, ce fumoir offre à la vente directe, une large gamme de poissons, fumés au bois de hêtre. Crée en 2003 par Jean-Paul et Marie-Rose, vous trouverez un fumage artisanal de différents poissons fumés au bois de hêtre : lieu jaune, maquereaux, sardines, thon. Vous pourrez aussi les déguster sur place le midi. Dans le hameau de Kerhuret, composé d'anciennes maisons en granit, se trouve une jolie maison de bois bleu qui abrite un atelier de découpe et de fumaison de poissons. L'atelier est équipé d'un grand plan de travail et de chambres froides pour stocker les poissons, issus d'Audierne et d'Écosse, ainsi que d'un quai d'accès pour l'approvisionnement. La ferme-gîte, restaurée par les propriétaires, propose du saumon biologique, du thon, du haddock, des filets de sardines, de harengs ou de maquereaux, tous marinés aux algues ou nature et vendus sous vide pour préserver leur qualité et leur goût. Ces produits figurent depuis plusieurs années dans les Bio-coop de Bretagne et sont disponibles au marché d'Audierne chaque samedi sur l'étal de Marie-Rose. Pendant les fêtes, Marie-Rose sera également présente sur les marchés de Noël d'Esquibien, Beuzec et Peumerit. En dehors de ces dates, le nouveau magasin de Kerhuret sera ouvert tous les jours (sauf le 25 décembre) pour que les clients puissent préparer leurs menus de fêtes. Infos pratiques : Fumoir de la pointe du Raz, au village de Kerhuret (Plogoff). Dimanche, dégustation gratuite de poissons fumés, de 10h à 16h. Entrée libre. Tél.02.98.70.31.72. La Biscuiterie de la Pointe du RazLa Biscuiterie de la Pointe du Raz fabrique depuis 1936 en Bretagne à la pointe du Finistère, ses gâteaux bretons de tradition. A été créée en 1936 par Marie Guezennec. la Biscuiterie de la Pointe du Raz régale petits et grands en fabriquant de délicieux biscuits et gâteaux bretons. Galettes, palets et Kouign-amann sont élaborés exclusivement au bon beurre de baratte breton. Visitez leur espace découverte qui retrace l’histoire de la Biscuiterie de la Pointe du Raz, et vous explique toutes les étapes de l'atelier de fabrication, de la réalisation de la pâte à la mise en sachet. Route de la Pointe du Raz - 29770 Plogoff Horaires d'ouverture : 7 jours sur 7 de 9h - 19h (Juillet-Août de 9h à 20h) La notoriété de la biscuiterie de la Pointe du Raz a largement dépassé les frontières de l’Hexagone depuis longtemps. Ils exportons principalement vers la Chine et le Japon mais aussi au Canada à l’Australie, de l’Afrique du Sud à l’Arabie Saoudite. Découvrez aussi la boutique en ligne de la Biscuiterie de la Pointe du Raz. Où loger lors de votre passage à la Pointe du RazIl y a plusieurs options d'hébergement à la Pointe du Raz pour les touristes qui souhaitent passer quelques jours dans la région. Voici quelques exemples :
Il est conseillé de réserver à l'avance pour être sûr d'avoir un hébergement disponible pendant votre séjour à la Pointe du Raz. N'hésitez pas à vous renseigner auprès des offices de tourisme locaux pour plus d'informations sur les différentes options qui s'offrent à vous. Hotel Pointe du RazLa Pointe du Raz est une destination de choix pour ceux qui cherchent un hôtel de charme et de caractère. Avec ses vues imprenables sur l'océan et son emplacement exceptionnel, l'hôtel de la Pointe du Raz vous offre un séjour inoubliable. Que vous soyez en couple, en famille ou entre amis, vous apprécierez les chambres confortables et les nombreuses activités proposées sur place. Voici les 7 meilleurs hôtels proches de la Pointe du Raz : Camping Pointe du RazPour les amoureux de la nature et de la vie en plein air, le camping à la Pointe du Raz est une expérience inoubliable. Situé au bord de l'océan Atlantique, le camping de la Pointe du Raz vous offre des emplacements ombragés et des installations de qualité pour vos vacances en camping-car, tente ou caravane. Vous pourrez profiter des nombreuses activités proposées sur place, comme la baignade, la pêche, la randonnée ou encore le surf, tout en profitant d'un cadre exceptionnel et d'un panorama à couper le souffle. Voici trois exemples de campings situés à proximité de la Pointe du Raz :
Comprendre le sens de 'bzh': Un acronyme lié à la Bretagne et à sa cultureVous avez peut-être vu l'acronyme 'bzh' utilisé sur Internet ou dans les médias, mais vous vous demandez peut-être ce qu'il signifie exactement. 'Bzh' est un acronyme qui fait référence à la langue bretonne et à la culture de la région de la Bretagne en France. Si vous êtes intéressé par l'histoire et la culture de la Bretagne, alors vous voudrez peut-être en savoir plus sur ce que signifie 'bzh'. Dans cet article, nous allons explorer l'histoire de cet acronyme et son utilisation actuelle dans le contexte de la Bretagne. Qu'est-ce que 'bzh' signifie?L'acronyme "bzh" signifie "Breizh" qui signifie lui-même « Bretagne » en breton. La langue bretonne appartient à la famille des langues celtiques et a été parlée dans la région de la Bretagne depuis des siècles. Si vous voyez l'acronyme 'bzh' utilisé dans un contexte en lien avec la Bretagne, il est probable qu'il fait une référence à l'identité bretonne. L'histoire de 'bzh': comment tout a commencéAu cours des années 1960, quatre jeunes Bretons de Paris, Erwan Nicol, Hervé Gilbert, Jean-Claude Le Normand et Marcel Courtial, ont eu l'idée de faire fabriquer un autocollant pour voitures portant l'acronyme "Bzh", qui est l'abréviation de "Breizh" (Bretagne). Leur initiative a connu un tel succès que le gouvernement a rapidement considéré cela comme une provocation! Le 13 janvier 1967, G. Verdeau, directeur de la revue "Breiz Santel", a été poursuivi pour avoir refusé de retirer l'autocollant "Bzh" apposé sur sa voiture. Le jugement rendu le 17 février a conclu que la plaque "Bzh" ne pouvait en aucun cas perturber la sécurité et l'ordre publics, et que l'arrêté préfectoral était illégal et dépourvu de sanctions pénales. Le tribunal a acquitté le contrevenant et a condamné le ministère public aux dépens. Le 24 septembre 1968, un automobiliste de Rennes a été poursuivi à nouveau à cause de son autocollant "Bzh". L'avocat de la défense a essayé, comme à Vannes, de démontrer l'illégalité de l'arrêté ministériel. Aujourd'hui, le bzh n'est plus considéré comme quelque chose de problématique et les Bretons s'en servent fièrement à l'arrière de leurs voitures. Il est difficile de ne pas en voir. Si son histoire a commencé sur les arrière des voitures, elle fait maintenant partie du quotidien. Elle est présente partout où les gens sont fiers d'être bretons. C'est ainsi que l'acronyme bretonnant est devenu un outil de marketing puissant. En effet, en raison de la croissance du succès des produits locaux, le symbole breton est utilisé par les marques, les artisans et d'autres producteurs comme un véritable label de qualité. Le hashtag "#MADEINBZH" est souvent utilisé par les marques sur les réseaux sociaux. Une campagne pour un emoji drapeau breton a utilisé #emojibzh pour devenir virale sur Internet. Le .bzh est meme utiliser comme extension pour les site web. Nous vous expliquerons ci-dessous comment modifier votre site Web. Où vous verrez bzh en Bretagne ?L'acronyme "bzh" peut être vu ou trouvé dans différents contextes et endroits, notamment:
Où trouver des autocollants bzhVous cherchez à ajouter un autocollant bzh à l'arrière de votre voiture ? Voici quelques sites web actifs qui pourraient proposer des autocollants "bzh" ou des produits avec l'acronyme "bzh" : Comment ajouter le .bzh a votre site webL'utilisation de l'extension .bzh pour les sites web est un moyen efficace et simple de s'ancrer en Bretagne. Il est important de se démarquer sur Internet et l'utilisation de cette extension peut y contribuer. Plus de 11 000 sites sont actuellement hébergés avec cette extension, ce qui en fait une référence pour les départements de la région Bretagne. En plus de valoriser le savoir-faire et la culture de la région, l'utilisation de l'extension .bzh peut également contribuer à votre référencement local et à votre e-réputation. Regardez cette vidéo pour apprendre comment enregistrer un nom de domaine en .bzh Souhaitons à tous Bloavezh Mat cette annéeC'est la période de l'année où vous souhaiterez probablement une bonne année à votre famille et à vos amis. Plus de 200 millions de SMS seront envoyés, sans compter tous les messages WhatsApp ou les publications sur les réseaux sociaux. Pourquoi ne pas leur souhaiter une bonne année en langue bretonne à la place ? Partagez un peu de breton avec tous ceux que vous connaissez en disant "Bloavezh Mat" cette année. Quelle est la traduction de "bonne année" en breton"Bonne année" se traduit en breton par "Bloavezh mat". "Bonne année" est un souhait de bienvenue pour la nouvelle année qui arrive. En breton, on peut traduire cette expression par "Bloavezh mat", qui signifie à peu près la même chose. C'est une façon de souhaiter à quelqu'un une année pleine de bonheur, de santé et de prospérité. C'est une expression très courante en français et en breton, et elle est souvent utilisée pour souhaiter une bonne année à ses amis, sa famille et ses proches. "Bloavezh mat" se prononce " bloa - vez mad." L'accent est mis sur la première syllabe de "bloavezh" et sur la dernière syllabe de "mat.". Dans le Vannetais on emploie une autre formule "Bléad Mad" avec l’accent sur ad et sur mad. Voici les manières de souhaiter une "bonne année" en breton :
Vous pouvez utiliser ces expressions pour souhaiter une "bonne année" en breton à vos amis, votre famille et vos proches. N'hésitez pas à être créatif et à utiliser ces expressions de manière originale pour souhaiter une "bonne année" en breton de manière originale et personnelle. Bloavezh mat traduction |